

Loge LA PRINCESSE DE LAMBALLE

Les différents rites de la GL-AMF
Les statuts de la GL-AMF prévoient que le travail en Loge repose sur les Rites que les Francs-maçons considèrent comme les seuls véhicules de leur progression initiatique. Les principales caractéristiques de chacun des rites pratiqués à la GL-AMF sont reprises ci-dessous (cliquez sur le titre pour plus de détails).
Son histoire est profondément inscrite dans celle de la Maçonnerie Anglaise. Ce rite, qui a été le symbole de la réconciliation des "Anciens" et des "Modernes", marque une transition entre la maçonnerie opérative et la maçonnerie spéculative.
Les plus anciens rituels ne sont pas parvenus jusqu'à nous. En effet, pour le maçon opératif toute allusion écrite ou dessinée aux secrets (....)
Il a été principalement élaboré par Jean-Baptiste Willermoz(1730-1824). Ce célèbre maçon lyonnais réforme la branche française de la Stricte observance templière au Convent des Gaules en 1778, en y intégrant des éléments de l'Ordre des Élus Coëns et en renonçant à l'héritage templier (...)
Il s’inscrit directement dans l’héritage maçonnique écossais sans discontinuité depuis les premières traces historiques de la franc-maçonnerie, c’est-à-dire de la loge Kilwinning n°01, mère de toutes les loges, de la ville écossaise de Kilwinning, fondée avant 1598. Il est admis généralement que ce rite est la forme la plus opérative de rituel (...)
Le Rite Écossais Ancien et Accepté est apparu en France grâce au Frère Grasse-Tilly en 1804, alors qu'il revenait des « Isles d'Amérique ». Il fonda le premier Suprême Conseil en France cette même année.
Un traité d'Union en décembre 1804 est signé entre le Grand Orient de France et le Suprême Conseil du 33e degré en France. Il est dit que « Le Grand Orient unit à lui » le Suprême Conseil de France. (...)
Au tout début du XVIIIe siècle, les francs-maçons britanniques présents en France y importent le « rite des Moderns » qui est ensuite traduit en français. Le contexte et les raisons qui conduisent quelques décennies plus tard à proposer une version officielle de ce rite (...)
Le développement du rite d’York coïncide avec l'expansion de la Grande Loge des Anciens au début du XVIIIe siècle. Plus « christique », cette pratique rituelle sera même défendue par Laurence Dermott dans son Ahiman Rezon. (...)